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Mon capitaine. >> Dit le garde en frappant à la porte. <<
Des étrangers !! Aux portes de la villes. >> C' était de la plus haute importance, car on ne fait jamais attendre des gents de cette noblesse pour rien.
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En... >> Mais le garde avait déjà ouvert la porte, son regard dur et confût <<
...trez. >> Le capitaine d' un regard furieux, fît signe de s' arrêter sur le champ, déconcerté par l' attitude de son sergent. Homme qui est devenu son ami, il ya de ça dix-sept années bien remplient.
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Pouvez-vous nous laisser ?? Je ferais de la place dans mon horaire pour vous, demain matin !! >> Un homme bien vêtu se lèva et prit ça canne avant d' acquièsser.
Avant même que la porte ne se referme, les deux millitaires de métier se lance au portail. Le sergent, incapable de décrire ce qu'il avait vue, mais pressant le pas pour que quelqu' un vienne à son propre secour.
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Sergent !! >> Ordonna le capitaine, mais le regard de son ami lui glaçit
de nouveau le sang. *Qui pouvait-il l' attendre?? Qui pouvait anéantir la volonté de son compagnon d'arme à ce point. *
La curiosité, puis la frayeur le prît. Et il commancait déjà à perdre le désir d' en savoir plus. Un dernier regard avant d' arriver, pour dire ''( à la vie , à la mort )'' mais il y avait quelque chose de noir au fond de leurs coeurs, quelque chose qui ne fesait que grandir et de s' emparer
de leurs volontés.
Le soleil n' était plus et le portail fermé,* personne à l' intérieur des murs. *<<
Que signifie... >> Il arrêta sur le champ, vît les archers qui menaçaient les visiteurs de leurs arcs avec aucune conviction. Plusieur soldat manquaient à leur poste et les autres ne tenaient en place, que par la peur.
Cette même peur qui s' est emparé de lui, il y a un instant.
Cette même oppression qu' il ne peut contenir. De pas en pas, la nausé
s' accentuait et la peur gagnait sur lui.
Quand son regard se posa sur les voyageurs , une tempête prît
son esprit, des vagues martelants ça volonté. Il se calma ausitôt. Ses hommes eux n'avaient pas cette chance apparament. Le temp semblait avoir arrêté.
Il regarda les visiteurs, un homme dans la trentaine vêtu comme un roi. Mais l' autre, attira tous son attention. En armure d' adamentite noir, montant un destrier noir sans yeux, il y avait quelque chose
d' autre ... une âme à la place. L' orbitre de ses yeux derrière son haume étaient lui aussi comme le feu des abîmes, il défia son regard un bref instant, mais qui lui sembla une éternité avant qu'il ne regarde ailleur. Et ce ailleur était le bras qui se dissimulait sous sa cape.
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Que viens faire un seigneur aussi loin de chez-lui ?? >> Commenta le capitaine. Une fois cette énergie négative dissipé de son corp.
Ne voulant pas déclencher un conflît ouvert avec cette chose venu des ténèbres.
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Vous aidez... Naturellement ! >> Avec un sourir sinique au coin des lèvres. Le roi mage acquièssa d'une lente salutation, juste pour dire qu' il est dès plus sinsère. <<
baisser vos armes >> Les paroles sortirent comme une music à ça bouche; il ordonna les soldats sur les tourrelles et les soldats obéirent, baissant les armes avec un vent de murmure, de désaprobation silencieuse.
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Vous n' etes pas les bienvenues ici, je vous de... >> La tempête dans son esprit reprît de plus belle et ses jambes s' enrracinaient dans le
sol, figé par la peur. Il ne voulait que se réveiller, mais se fût de courte durée. la voie du seigneur déchu resonna comme le tonnerre dans le faubourg. <<
Seigneur Az@lin désir et ne partira pas, t'en qu' il n' aura pas parlé a Ducat34 >> La voie ténébreuse et sans vie se fît entendre. Mais ça main n' avait toujours pas quitté le dessous de sa cape...
A suivre la semaine prochaine... P.s : si il y a des fautes pardonnez moi.